vendredi 22 juin 2012

La nuit de Géronimo





J’ai fait connaissance de l’auteur avec Guerre sale qui m’avait laissé bonne impression. C’est sans appréhension particulière que j’ai remis le couvert, mais avec une autre héroïne, Louise Morvan. Je suis assez déçue de cette lecture dont l’histoire, à mon sens n’a jamais vraiment décollé. Il règne comme un genre de ronron  qui finit par mener en bateau le lecteur, et , pire encore, à l’embarquer aux 2/3 dans quelques aventure moscovites assez floues, et qui  finissent par perdre davantage le lecteur que l’éclairer.
Ce policier manque d’action, campe des personnages insuffisamment abordés ; l’ensemble étant écrit dans un style assez conventionnel, et d’une construction qui manque d’imagination.
Un polar qui ne restera donc pas pour moi dans les annales, et dont je crains qu’il ne me reste pas grand-chose dans les semaines à venir.

 

La nuit de Geronimo, Dominique Sylvain
Viviane Hamy (16/03/2009) Points (05/04/2012)
Sélection 2012 pour le prix du meilleur polar des lecteurs Points
355/410 pages 

4ème de couverture :
Tous les matins, les Domeniac reçoivent le même email: « Geronimo n’a tué personne, mais qui a tué Geronimo? » Le message réveille de cruels souvenirs dans cette famille déchirée: Geronimo, ou plutôt Thierry Domeniac, génie de la génétique, s’est tué des années plus tôt. Engagée pour démasquer l’expéditeur, Louise Morvan s’étonne de certains silences. Que lui cache-t-on des découvertes de Geronimo ?



Compte pour un personnage connu dans le challenge Petit bac organisé par Enna.


 Pour le challenge d'Opaline.


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